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Un mélange attachant de musiques world, soul, pop, et jazz et bien d'autres nuances subtiles où l'on trouve à ses côtés de nombreux invités venus des quatres coins du monde tel que Tony Allen, David Gilmore, Leon Pendarvis et Bashiri Johnson. C'est sans doute l'opus le plus émotionnellement honnête et le plus intime de toute la discographie du groupe.

Association inédite : Neneh Cherry a choisi de collaboré avec le trio The Thing, qui développe un jazz libre et inspiré par la pop aussi. ''The cherry thing'' contient 8 reprises inédites d'Ornette Coleman, Don Cherry (père de Neneh Cherry), Suicide, Martina Topley-Bird, MF Doom & The Stooges.

''The Duke'' est un hommage à Duke Ellington, une des constantes sources d'inspiration de Joe Jackson, au cours de ses trois décennies de carrière. Si techniquement, l'album est un tribute, il n'en reste pas moins un album très personnel qui témoigne de l'éclat intemporel des composition du Duke, et démontre une nouvelle fois le talent d'arrangeur, de musicien et de chanteur de son initiateur. Le résultat est une fusion des genres, mélange d'électronique et d'organique, magnifiée par une pléiade de guests prestigieux, dans le respect du pluralisme du Duke : l'icône rock Iggy Pop, la diva R'n'B Sharon Jones, la chanteuse iranienne Sussan Deyhim, Lilian Vie du collectif Zuco103, le ''guitar hero'' Steve Vai, les deux stars du jazz contemporain Regina Carter (violon) et Christian McBride (basse), ainsi que plusieurs membres de The Roots.

Rappeur somalien, fasciné par la musique et le hip hop, il se fait très vite remarquer pour son style unique, puissant et imprévisible et pour ses textes à la fois sensibles et tranchants. Cet album a été enregistré lors de sa tournée mondiale qui lui a value d'être d'entrée de jeu classé parmi les très grands du hip hop.

Ndidi Onukwulu signifie ''patience'' ! ''Tout le contraire de qui je suis dans la vie'', sourit celle qui s'amuse de telles contradictions. Deux ans paprès ''Move together'', la voilà de retour avec un nouvel album où elle parle d'elle à travers les autres, d'une vie rude qui ne l'a guère épargnée. Ndidi a beaucoup galéré, pas mal voyagé, avant d'y arriver, et de poser ses valises à Paris sa nouvelle ville d'adoption. Elle y place les balises pour creuser pour de bon son sillon. Voilà comment comprendre le titre, ''The escape'', comme une projection vers le futur, et non une réaction au passé.